Revue de presse
Le spécialiste de la maintenance TSI Production s’oriente vers l’ingénierie
Reprise il y a un an, TSI Production, acteur de la maintenance industrielle préventive et corrective, a pris un nouveau virage en développant une activité« Ingénierie» avec un périmètre d’action désormais national.
TSI Production en a profité pour devenir TSI « Ingénierie, maintenance industrielle et parachèvement»
Jusqu’à présent, l’activité historique de TSI en maintenance industrielle était mise en avant. L’activité nommée « travaux neufs » était noyée dans la maintenance. Mais que ce soit dans le secteur de l’industrie du verre, de la construction ou de l’automobile (pneus), de plus en plus de grandes entreprises sollicitent TSI pour des projets d’installations clés en main d’éléments de stockage/distribution/manutention d’agrégats divers, de systèmes de convoyage à bande transporteuse, ou encore d’équipements sous pression comme, par exemple, des cabines de distribution de fluides. David Guerchon, président de TSI explique qu’« après notre reprise de TSI Production, nous avons rapidement identifié des perspectives de croissance conséquentes dans le secteur
de l’ingénierie concernant les installations techniques ou industrielles clés en main. Nous avons décidé d’investir au niveau humain et technologique au bureau d’études et nous disposons aujourd’hui d’une force de frappe importante permettant de répondre à des projets de grande envergure, de l’ordre du million d’euros, en un minimum de temps. »
De nouveaux outils ont été mis en place, notamment au bureau d’études. En plus de quatre stations CAO SolidWorks, TSI s’est équipée d’un scanner laser 3D afin de gagner en productivité et en précision. Cet équipement permet de faire un relevé automatique de mesures et d’obtenir l’environnement de l’usine du client au millimètre près. L’ingénierie génère la croissance et représente pour l’ instant un tiers du chiffre d’affaires de TSI à 8,8M€ en 2017. Avec 50% du chiffre d’affaires, la maintenance industrielle reste à ce jour l’activité dominante.
Article paru dans « Maintenance & Entreprise » N°650 Juin/Juillet 2018